L’Arbre Blanc

L’Arbre Blanc c’est avant tout la passion d’une équipe pour transformer un rêve en réalité. Issue du fruit de l’imagination d’une nouvelle et brillante génération d’architectes, L’Arbre Blanc est une oeuvre iconique, qui a pris vie, grâce à l’audace de promoteurs régionaux qui ont cru immédiatement en ce projet unique.

Au départ, c’est un concours lancé par la ville de Montpellier destiné à enrichir le déjà très beau patrimoine architectural de cette métropole audacieuse et innovante. Puis, c’est une fantastique aventure humaine, une intelligence collective animée par les talents des architectes comme des promoteurs, qui a donné corps à toutes les idées et franchi les limites. Du rêve né dans un atelier tokyoïte, L’Arbre Blanc se déploie désormais avec grâce dans le ciel Montpelliérain et fait la différence par son parti-pris architectural et sa conception en phase avec les valeurs humanistes de la ville de Montpellier, moderne et durable.

Promeo en tant que chef de file, associé aux promoteurs Evolis Promotion, Crédit Agricole Languedoc Immobilier Promotion et Opalia s’est fortement mobilisé, pour réaliser cet ouvrage emblématique pour Montpellier et au-delà pour tout le Sud de la France. A travers L’Arbre Blanc c’est la confirmation d’une expertise dans la réalisation de projets d’envergure aux performances et techniques de pointe.

L’Arbre Blanc, c’est l’idée d’un bâtiment qui répond à la nécessité d’habiter en centre-ville pour limiter les déplacements en voiture, tout en bénéficiant des qualités d’une maison individuelle.

En s’inspirant des montpelliérains et de leur art de vivre, L’Arbre Blanc définit une nouvelle vision de l’habitat, harmonieuse et optimiste, en exprimant son appétence à vivre à l’extérieur à travers ses très grandes terrasses déployées en éventail. Ces espaces exceptionnels, prolongements fluides et naturels des logements, permettent à ses occupants d’habiter à la fois dedans et dehors, un luxe pour une métropole baignée de soleil 80% de l’année.

Au-delà de ses logements et leurs prolongements, le bâtiment compte de nombreux lieux de vie. Des espaces publics animent le rez-de-chaussée et le premier étage, permettant au restaurant L’Arbre, lieu bistronomique des chefs Eric Cellier, Charles et François Fontès, et à La Serre, espace dédié à l’art contemporain du collectionneur et mécène Gilbert Ganivenq, de s’ouvrir largement sur la rue et sur le Lez. Son toit panoramique traité comme un jardin joue sur la transparence. Ce rooftop est doté d’un bar accessible au public et d’un espace réservé aux résidents. De sorte que chacun puisse s’approprier L’Arbre Blanc.

Symbole vivant du Montpellier contemporain, L’Arbre Blanc réinvente ainsi la tour en privilégiant l’humain et en apportant une valeur ajoutée dans le « vivre ensemble » par son esthétique et son usage. L’Arbre Blanc est le reflet d’un mouvement architectural qui s’amorce : celui d’un urbanisme du XXIème siècle, au sein duquel l’environnement et le sociétal s’insèrent efficacement pour servir le bien-être et l’épanouissement de chacun.

L’Arbre Blanc domine de près de 50 mètres les quartiers Port Marianne et Antigone et compte 112 appartements répartis sur 17 étages. Le chantier, réalisé en trois ans, a mobilisé jusqu’à 1.500 personnes. Parmi les nombreuses prouesses architecturales et techniques, incontestablement la conception dans les trois dimensions des terrasses, dont les porte-à-faux allant jusqu’à 7,5 mètres de long constituent une première mondiale, ont marqué l’édification du bâtiment. Pour leur installation aux différents étages, une technique unique inspirée du pont levis a été imaginée et une grue dotée d’une plateforme réalisée sur mesure avec un contrepoids motorisé a été utilisée. Chaque terrasse, équipée de pare-vents, peut soutenir jusqu’à 350 kg au mètre carré.

Leur abondance et celle des ombrières (les plus grandes d’Europe) sont emblématiques de L’Arbre Blanc. Elles créent une vraie vie à l’extérieur et définissent un nouveau type de rapports entre les habitants. Elles se jouent également du soleil pour former des ombres qui vont et viennent tout au long de la journée et reflètent ainsi une infinité de nuances.