Une construction aux qualités environnementale et architecturale exceptionnelles
Des motifs simples, un camaïeu de blanc, la résille BFHUP donnent une image forte du projet et déclinent une interprétation contemporaine des moucharabiehs orientaux, pour offrir un confort thermique optimum à ses vacanciers..
De la dentelle sur les murs pour un esprit résolument méditerranéen
La résille, imaginée par le cabinet d’architecture Jacques Ferrier, permet tout
un jeu sur l’ombre et la lumière qui définit une atmosphère typique du sud, caractérisant un lieu de villégiature qui rompt avec la banalité des constructions fonctionnelles. La résille, prend diverses formes : grands auvents, façades, mais aussi petites ombrières et lambrequins. La réflexion sur ses parois déployées révèle, met en spectacle, les variations de la lumière solaire : les pâleurs roses de l’aurore, les blancs cinglants du zénith, les oranges chatoyants du crépuscule et les bleutés des fins de journées.
La résille verticale en façade permet également de protéger l’intimité face aux vis-à-vis et d’accroitre le confort thermique en été. Les auvents marquent les entrées des bâtiments principaux et les protègent ainsi également du soleil
Une parfaite intégration dans son paysage
Un environnement dunaire, sauvage, décoré de pinèdes. De cette situation remarquable Nakâra tire toute sa valeur. La topographie initiale du site présente une pente douce vers la mer. La disposition des bâtiments sur le site a été conçue dans ce même esprit grâce à un jardin méditerranéen s’étirant de l’entrée de l’hôtel aux sentiers menant à la plage, dédié aux piétons et aux vélos. L’implantation du bâti et la morphologie générale de la résidence assurent une insertion harmonieuse du projet dans son environnement immédiat. L’ensemble des pergolas fait le lien entre les pavillons et le jardin méditerranéen, suggérant de façon harmonieuse intimité et vie collective, modernité et verdure …
Des éléments initiaux (rochers, arbustes …) ont été volontairement conservés et intégrés aux espaces paysagers pour marier encore davantage l’existant du créé.